Entre­tien réalisé au premier jour de règne de cette reine de beauté zéro défaut, ou presque…
Il est cinq heures, Paris s’éveille quand nous traver­sons la place Vendôme pour rejoindre l’hô­tel Park Hyatt pour y rencon­trer la Miss France 2016 au lende­main de son sacre.
Tandis que certains membres de l’équipe chan­cellent, d’au­cun s’en­dor­mant sur le canapé de sa suite, après trois heures de sommeil celle-ci nous reçoit fraiche, du haut de ses vingt deux ans. Dans son dos, le maquilleur-coif­feur Arnaud Sol-Dour­din s’af­faire pour monter les boucles d’une cheve­lure de dessin animé Disney : longue, épaisse et brune. Des équipes de télé­vi­sion dépê­chées par TF1, la chaine qui diffuse l’émis­sion et ses huit millions de télé­spec­ta­teurs en prime time, se partagent l’ex­clu­si­vité de ses premières confi­dences filmées.
Notre inter­view est elle-même  inter­rom­pue pour que la jeune fille parte faire un direct de sonore –robe de soirée signée Jean-Paul Gaultier rele­vée sur ses sandales dorées au débotté- dans le camion régie des confrères d’RTL garé en face de l’hô­tel.Nos collègues du Pari­sien, eux, pren­dront ses premières impres­sions au télé­phone.
Dans une coupelle de sa chambre, en pleine effer­ves­cence média­tique donc, trône l’un des premiers trophées de l’année à venir: la montre sertie de diamants offerte à la miss par le joaillier Jean Richard. Appa­rem­ment, personne ne s’inquiète de la voir dispa­raître. La confiance mais aussi une sorte d’eu­pho­rie règne. Sylvie Tellier, d’habitude plus stressée, passe, toute en cooli­tude. « Cette année, je n’au­rai rien à faire » dit-elle. Il faut dire que Iris Mitte­naere, étudiante en cinquième année de chirur­gie dentaire, a parti­cu­liè­re­ment la couronne sur les épaules.

Tandis que son entou­rage est une ruche, on ne ressent ni excès d’émo­tion, ni confu­sion d’au­cune sorte au contact de cette reine des abeilles, au lendemain même d’une promotion de son image pour­tant abso­lu­ment excep­tion­nelle. Un zest d’ad­mi­ra­tion nous enva­hi… Cette fille là est une miss 3.0. En appa­rence,  elle est la fille, la bru ou la copine idéale. Seul point néga­tif? Elle a déjà -évidem­ment- un amou­reux. Son destin est-il appelé à se compliquer? Sans doute. 

Source : Gala

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